Je suis profondément reconnaissante de pouvoir relater la guérison du chagrin qui s’est produite seulement cinq jours après le décès de mon premier mari. Au début, je me suis sentie profondément bouleversée et en proie à la confusion. Tout semblait sens dessus dessous, et une ombre inconnue auparavant planait désormais sur ma conscience.
Soutenue par ma famille et mes amis, et par les prières de mon dévoué professeur de Science Chrétienne, je suis parvenue à me nourrir, à marcher, et à vivre, au jour le jour. Deux versets bibliques m’ont immédiatement soutenue lorsque j’ai ouvert ce livre sacré au hasard pour y trouver du réconfort. Le premier se trouve dans l’Evangile selon Luc (10:42) : « Une seule chose est nécessaire. Marie a choisi la bonne part, qui ne lui sera point ôtée. »
Quelle est cette « bonne part » ? J’ai réalisé que c’était la Science Chrétienne, ma foi en Dieu, et l’essence de mon être, intouché et spirituel, comme Dieu. En choisissant cela, comme Marie l’avait fait, je savais que j’aurais tout ce dont j’avais besoin.
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