Il y a quelques années, quand j’étais étudiante, je suis tombée malade juste avant mes examens de fin d’études. Je me sentais seule, sans famille proche prête à prier pour moi.
Ma mère n’était plus de ce monde, or j’avais toujours compté sur ses prières quand je n’étais pas bien. Pour la première fois de ma vie, j’allais devoir prendre moi-même une décision concernant ma santé. Inquiètes pour moi, mes colocataires voulaient que j’aille voir un médecin, et j’étais stressée par la nécessité d’être suffisamment en forme pour passer mes examens.
Les prières ferventes de ma mère, mon éducation spirituelle en Science Chrétienne et trois générations de scientistes chrétiens, dans la famille, s’en remettant à la sollicitude de Dieu, tout cela avait établi la base de mon approche des soins de santé. Je considérais la santé comme naturelle et normale. Cette base avait fait ses preuves, cette conception de la santé m’avait réussi toute ma vie, c’est pourquoi je n’avais aucun problème à m’appuyer sur la Science Chrétienne et attendre une guérison.
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !