Éternel, tu m'as sondé et tu m'as connu...
Où irais-je loin de ton Esprit,
Où fuirais-je loin de ta face ?
Si je monte aux cieux, tu y es ;
Si je me couche dans le sépulcre, t'y voilà !
Si je prenais les ailes de l'aurore,
Et si j'allais demeurer à l'extrémité de la mer,
Là même ta main me conduirait,
Ta main droite me saisirait !
Si je dis: Seules les ténèbres pourront me cacher,
Alors la nuit même devient lumière autour de moi.
Pour toi les ténèbres ne sont pas obscures:
La nuit resplendit comme le jour
Et les ténèbres comme la lumière !

Psaume 139
Versets 1–12
Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de janvier 1965