Je désire, par l'intermédiaire des périodiques de la Science Chrétienne,...

Je désire, par l'intermédiaire des périodiques de la Science Chrétienne, exprimer ma gratitude pour ce que la Science Chrétienne a fait et ce qu'elle fait encore pour moi. J'y fus amenée par la guérison d'une amie qui put, bien qu'elle ne se fût intéressée à la Science que depuis peu de temps, m'aider à vaincre une angine qui me paraissait aiguë. Une des choses qu'elle me recommanda, ce fut de me réjouir; et, bien qu'au début il me semblât pénible de le faire, j'y parvins en quelque mesure, ayant le désir d'être obéissante. A la page 1 du livre de texte de la Science Chrétienne, Science et Santé avec la Clef des Écritures, Mrs. Eddy écrit: “Le désir, c'est la prière; et nous ne pouvons rien perdre en confiant nos désirs à Dieu, afin qu'ils soient façonnés et exaltés avant de prendre forme en paroles et en actions.” Comme je réfléchissais à ceci, il me vint cette belle pensée: se réjouir c'est être reconnaissant. Et, tandis que je remerciais Dieu pour les guérisons d'autrui, je savais que moi aussi je serais guérie. Puis, après avoir assisté à une conférence de la Science Chrétienne, je dormis cette même nuit, et me réveillai le lendemain parfaitement guérie. Ce matin-là je lus des passages du livre de texte de la Science Chrétienne à mon fils qui souffrait aussi du mal dont je m'étais remise, et il s'ensuivit qu'au bout d'une heure il était rétabli.

Mon petit-fils, qui vint habiter avec moi après le départ de sa mère, fut merveilleusement guéri. Il fut pris de fortes convulsions, et tandis que je travaillais pour le bébé, une pensée bienfaisante me vint après avoir lu dans The Christian Science Monitor l'article métaphysique de ce matin-là, concernant le secours toujours présent de Dieu. Ayant le sentiment intime de ce secours, je pris le petit dans mes bras et déclarai la vérité toujours présente, tandis que l'on téléphonait à la praticienne pour lui demander de l'aide. Bien que tous ceux qui étaient présents crussent, sauf moi, que le petit trépassait, les convulsions cessèrent. Pendant dix jours il souffrit de ce que l'on aurait appelé une inflammation des intestins et d'une pneumonie. Le père et d'autres membres de la famille, animés d'une crainte terrible qui demandait à être vaincue par la Science, voulaient appeler un médecin; mais grâce à mon influence on n'en fit rien, et l'enfant fut confié aux soins de Dieu, l'Amour divin. Au bout de deux semaines environ, il pouvait s'asseoir sur sa chaise, et il respirait la santé. Il a maintenant plus de cinq ans, il est plein de vie et de gaîté, et c'est pour lui un bienfait et un privilège de pouvoir fréquenter l'École du Dimanche de la Science Chrétienne.

Personnellement, j'ai eu maintes guérisons dans la Science Chrétienne, entre autres: violents maux de tête, faiblesse extrême, affection des nerfs et dérangement de l'estomac. Quelques-uns de mes petits-enfants ont été guéris de la rougeole, de la coqueluche et de bien des maux auxquels les enfants sont généralement sujets. Je suis donc reconnaissante de tout ce que la Science Chrétienne a fait pour moi et pour les miens; je suis reconnaissante d'être membre de L'Église Mère ainsi que d'une église filiale, et du privilège béni d'avoir suivi un cours d'instruction dans la Science Chrétienne.