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Toute la maisonnée a été guérie

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’août 2025

Paru d'abord sur notre site le 28 avril 2025.


Il n’y a jamais de bon moment pour être malade, mais un sentiment particulier d’angoisse m’a envahie lorsque j’ai ressenti des nausées un samedi soir et qu’elles ont rapidement empiré. Mon mari devait effectuer son service mensuel dans la Garde nationale le lendemain, et j’allais devoir m’occuper de nos trois jeunes enfants, toute seule à la maison. Je ne savais pas comment j’allais m’en sortir.

Accablée par les symptômes, j’ai appelé une praticienne de la Science Chrétienne pour qu’elle me donne un traitement métaphysique. J’étais reconnaissante qu’elle me dise, avec une assurance paisible, que je n’étais pas seule et qu’elle allait commencer immédiatement à prier.

Cette simple assurance que je n’étais pas seule a dissipé la crainte que j’avais d’être la source de la guérison, du bonheur de nos enfants et de l’harmonie de notre famille. J’ai senti que la frustration liée à l’absence de mon mari cédait la place à la gratitude pour son dévouement et son sens désintéressé du devoir.

Bien que les symptômes ne se soient pas atténués à ce moment-là, je savais que j’étais sur la bonne voie. Le lendemain matin, mon mari, par amour, a pris une journée de congé pour s’occuper de moi et de nos enfants. Au cours de la journée j’allais de mieux en mieux et, à la fin de la journée, j’étais complètement guérie.

Cependant, au cours des quelques jours suivants, d’autres membres de la famille ont commencé à se sentir mal, les uns après les autres, et à présenter les mêmes symptômes que moi. Notre plus jeune enfant était tout petit à l’époque, et j’étais très inquiète à l’idée qu’il tombe malade.

Bien que la contagion soit généralement considérée comme une chose inévitable, mon expérience de scientiste chrétienne m’a appris que la contagion n’est pas physique, mais mentale, et qu’elle découle de la peur et d’un sentiment d’impuissance. Avoir confiance en l’omnipotence et en l’omniprésence de Dieu, l’Esprit, nous confère l’autorité spirituelle nécessaire pour faire taire la peur et surmonter la croyance que la maladie est réelle et qu’elle peut être contagieuse. Tout en prenant soin de ma famille, je priais pour ressentir cette confiance spirituelle.

C’est alors qu’une pensée surprenante m’est venue : « Ce n’est pas une maison où la maladie est contagieuse, c’est une maison où la guérison est contagieuse. » Cela m’a rappelé que tous les enfants de Dieu sont entièrement spirituels, créés par Dieu, le bien, pour exprimer l’amour, la santé et les autres qualités de l’Esprit. Par conséquent, les membres de notre famille ne pouvaient partager que le bien les uns avec les autres, chacun étant béni par l’amour qui règne dans la famille.

Mary Baker Eddy, la Découvreuse et Fondatrice de la Science Chrétienne, a écrit : « Les bonnes pensées sont une armure impénétrable ; ainsi revêtus, vous êtes complètement à l’abri des attaques de l’erreur, quelle qu’en soit la nature. Et non seulement vous êtes en sécurité vous-mêmes, mais tous ceux sur qui reposent vos pensées en reçoivent ainsi les bienfaits. » (La Première Eglise du Christ, Scientiste, et Miscellanées, p. 210) Les bonnes pensées – les pensées qui viennent de Dieu, la Vérité, et qui sont soutenues par la loi divine – sont partagées librement. Elles nous protègent et nous bénissent, non seulement nous mais aussi ceux que nous rencontrons.

Cela a marqué la fin de la maladie. Les autres membres de la famille ont été rapidement guéris et ont repris leurs activités habituelles avec une énergie intacte. Et notre plus jeune enfant est resté en parfaite santé, malgré le temps passé au contact de personnes qui avaient été malades.

Je suis profondément reconnaissante pour l’autorité spirituelle acquise grâce à l’étude de la Science Chrétienne et pour les nombreux bienfaits que procure la pratique de cette Science pour élever une famille.

Inge Schmidt
Elsah, Illinois, Etats-Unis

Inge a semblé vraiment soulagée lorsque j’ai pu rester à la maison le dimanche, et ne pas effectuer mon service, à la Garde nationale, afin de m’occuper d’elle et des enfants. J’ai senti que cela confirmait pour elle le fait spirituel qu’elle n’est jamais seule ; non pas parce que j’étais avec elle, mais parce que cela prouvait que Dieu prend toujours soin d’elle. Et le fait que je sois à la maison en était l’expression. Cela lui a également donné l’occasion de s’attacher à mieux reconnaître son unité avec Dieu et ainsi se libérer de la maladie. C’est ce qui s’est passé pour elle, comme pour nous tous, ainsi qu’elle l’a raconté.

Roger Gordon

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