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Je me suis senti beaucoup mieux après avoir prié.

Nous ne pouvons pas être soumis à des cycles de bien et de mal. Connaître la paix, la réussite et la victoire – et non le stress, l’anxiété et la peur – voilà la vie pour laquelle Dieu nous a créés.

Durant les jours et les mois qui ont suivi la disparition de mon mari, j’ai eu le sentiment d’être maintenue en sécurité sur le roc du Christ, la Vérité, et que ni la peur, ni le doute ni le découragement ne pouvaient m’ébranler.

Je me suis sentie appelée à devenir nurse de la Science Chrétienne et à démontrer l’Amour divin partout où je me trouvais. A ce moment-là, je suis devenue heureuse, insouciante, prête à faire tout ce qui m’était révélé par le Christ, la Vérité.

Dieu tient Ses promesses : Il a fait toutes choses nouvelles, pour toujours.

Cette guérison m’a beaucoup marquée parce que j’avais vraiment écouté Dieu et eu le sentiment qu’Il me parlait.

J’ai réalisé qu’à chaque fois que j’essaie de créer de l’excellence ou de la bonté, en partant de l’idée que c’est moi qui suis la créatrice (y compris en m’appuyant sur mes progrès et mes réalisations), je mets la personnalité, ou le moi, à la place de Dieu.

Les prétendus défauts humains sont de fausses étiquettes, pas des lois. Dieu n’a pas créé des êtres humains avec des entendements distincts, qui peuvent se tromper, et avec un mélange de traits de caractère bons et mauvais.

Je comprends tellement mieux maintenant que le chagrin n’est pas plus puissant que la joie et que rien ne peut me séparer – ni séparer personne d’autre – de l’amour de Dieu.

La croyance illusoire mais agressive à un épicycle du mal est oblitérée par la compréhension spirituelle du cycle infini du bien divin, qui est la création de Dieu se révélant constamment.