
Témoignages
J'avais été maladive et délicate de santé dès mon enfance, et j'avais fréquemment souffert d'une maladie ou d'une autre. En décembre 1919, je fus prise d'une extrême faiblesse qui augmentait de jour en jour, jusqu'à ce que, en février 1920, les docteurs dirent que j'étais complètement paralysée.
Je désire donner un témoignage de la guérison que j'ai reçue grâce à la Science Chrétienne, il y a environ huit ans. Je souffrais d'un état de nervosité qui occasionna une maladie de cœur.
J'avais souffert pendant dix ans de ce que les médecins appellent le mal de Bright. Durant tout ce temps, je ne pouvais avoir une seule nuit de repos sans recourir à quelque narcotique puissant pour me faire dormir.
Je désire exprimer mes profonds remerciements pour la merveilleuse guérison que j'éprouvai récemment grâce à la Science Chrétienne. Je m'étais sentie parfaitement bien, mais un jour que j'étais allée me promener, je fus envahie par une forte sensation d'évanouissement, si bien que j'eus beaucoup de peine à rentrer.
Pendant toute mon enfance et toute ma jeunesse j'ai souffert de maux de reins. Nous essayâmes de tous les remèdes dont nous entendîmes parler, mais sans obtenir de résultat.
La Science Chrétienne a été pour notre famille de cinq “un secours dans les détresses” durant les quinze dernières années. Nos trois enfants sont nés dans la Science et y ont été élevés.
J'ajoute aux beaux et nombreux témoignages déjà donnés l'expression de ma profonde gratitude. Moi aussi, j'ai été guéri, grâce au traitement de la Science Chrétienne, de sérieux troubles nerveux au cœur, de bien des pensées erronées, et surtout d'une grande crainte,— maux qui m'avaient torturé et affaibli.
Il y a exactement huit ans que j'ai commencé l'étude de la Science Chrétienne à Londres où je passais mes vacances. Je revins en Italie bientôt après la déclaration de la guerre, et bien qu'en général je n'aime pas à voyager, je fis cette fois un voyage très confortable en dépit des difficultés qu'il y avait de traverser la France à ce moment-là, et bien qu'il me fallût cinq jours pour me rendre à Florence.
C'est avec un sentiment de devoir, aussi bien que de plaisir, que je témoigne du pouvoir guérisseur de l'Amour divin dans la Science Chrétienne. Depuis plus de trente ans j'avais souffert de l'asthme, occasionné, pensait-on, par le catarrhe.
Je désire exprimer ma reconnaissance envers Dieu pour les nombreuses bénédictions que nous avons reçues par la Science Chrétienne. Jusqu'à ce que j'eusse le bonheur de la connaître, notre fillette était toujours malade.