
Témoignages
Il est tout à fait possible de connaître la liberté, de se sentir en sécurité et d’être guidé même au milieu du tumulte. Pourquoi ? Parce que ces « guides spirituels » que sont les anges, selon la définition qu’en donne Mary Baker Eddy, ne dépendent ni du temps ni de l’espace (voir Science et Santé avec la Clef des Ecritures, p. 299).
Cela faisait maintenant des dizaines d’années que je souffrais d’une bronchite asthmatique chronique dont les symptômes étaient souvent agressifs. Or, un jour, j’ai reçu un abonnement cadeau au Héraut de la Science Chrétienne, et je me suis mise à lire tous les articles et tous les témoignages que ce magazine contenait.
J’étais enceinte du plus jeune de mes enfants et au septième mois de ma grossesse, quand j’ai appris la mort du neveu de mon mari. Cela m’a profondément affectée.
Un matin, en partant au travail en scooter, j’ai percuté une moto qui se trouvait devant moi et mon pied en a violemment heurté le top-case latéral. Après avoir dévié, j’ai terminé ma course sur le trottoir d’en face.
Le lendemain de la naissance de notre fils Daniel (ma femme était encore à l’hôpital), j’ai reçu un appel de l’infirmière en chef qui me demandait de venir immédiatement. Il y avait un problème, et il fallait que le bébé soit transféré en urgence dans l’unité de soins intensifs (USI) du centre médical universitaire.
Cela faisait maintenant treize ans que mon mari et moi désirions avoir un enfant, et j’étais triste de ne pas en avoir. Par ailleurs, je pensais qu’adopter serait source de problèmes.
En 1961, l’église filiale de l’Eglise du Christ, Scientiste, dont j’étais alors membre m’a appris qu’une réunion internationale pour les jeunes aurait lieu à L’Eglise Mère, à Boston. Je m’y suis inscrite.
Il y a plusieurs années, j’ai ressenti les symptômes d’une grande fatigue, au point de ne plus pouvoir marcher ni même me tenir debout. Je voulais juste rester au lit, je ne mangeais plus et n’arrivais pas à trouver le repos.
Au début de l’année 2014, des symptômes agressifs se sont manifestés et ils m’ont d’abord fait très peur. Cela a commencé par une douleur vive à la mâchoire inférieure qui s’est propagée jusqu’à l’œil gauche et au côté gauche de la tête.
A un moment donné, il a souvent été question dans les médias des dangers liés à la foudre. Cela m’a rappelé une situation vécue dans mon enfance.