Témoignages
Je tiens à exprimer ma gratitude concernant la Science Chrétienne et ce qu'elle a fait pour moi. Lorsqu'il y a quelque vingt ans, je pris intérêt à cette Science, j'avais épuisé tous les secours matériels et les docteurs ne me donnaient plus que six mois de vie.
La première fois qu'ils entendent parler de la Science Chrétienne, bien des gens tournent en ridicule cette admirable religion, comme je l'ai fait moi-même. Mais quand on parvient à comprendre que Dieu est notre Père-Mère, ainsi que l'explique le livre de texte, Science et Santé, par Mrs.
Notre Leader, Mary Baker Eddy, écrit à la page 293 de Science et Santé avec la Clef des Écritures: « Il n'y a point de vaine fureur de l'entendement mortel — s'exprimant sous forme de tremblements de terre, de vent, de vagues, de foudre, de feu et de férocité bestiale — et ce prétendu entendement se détruit lui-même. » Le vrai sens de ces paroles m'apparut avec une grande clarté lors du violent tremblement de terre qui sévit récemment à Quetta.
Il y a environ cinq ans que j'entendis parler pour la première fois de la Science Chrétienne; mais comme je crus que c'était un passe-temps pour les hautes classes et pour les personnes qui n'ont rien à faire, je n'éprouvai pas le désir d'en savoir davantage à ce sujet; pourtant j'étais alors très malheureuse et ma santé n'était pas bonne. Finalement, pour faire plaisir à une amie, je me rendis avec elle dans une des églises filiales de notre ville.
J'espère que mon témoignage encouragera tous ceux qui, luttant contre des difficultés physiques ou autres, cherchent la vérité et voudraient être libérés de leurs souffrances. Nous lisons dans l'épître de Jacques: « La prière de la foi sauvera le malade, et le Seigneur le relèvera; et, s'il a commis des péchés, ils lui seront pardonnés.
Personne, me semble-t-il parfois, ne peut avoir plus de raisons que je n'en ai pour ressentir une profonde gratitude au sujet de la Science Chrétienne, qui m'a trouvé quand la vie me paraissait vaine et tous les efforts inutiles. Je me tenais pour ainsi dire au bord de la route, regardant le monde qui se pressait et se bousculait pour des buts dont lui-même ne pouvait donner aucune définition logique.
En novembre 1932, j'eus pour la cinquième fois des coliques néphrétiques qui me firent beaucoup souffrir. Ces crises s'étaient répétées à quinze jours d'intervalle, et devenaient de plus en plus graves.
Pénétrée de reconnaissance, je désire attester les bienfaits et les guérisons reçus au cours des dix dernières années par ma famille et moi-même. Il y a six ans, notre fils avait les deux mains couvertes de verrues qui le gênaient.
Avec des milliers d'autres disciples, l'auteur de ces lignes est un témoin vivant de ce qu'écrit Mrs. Eddy à la page 1 de Science et Santé avec la Clef des Écritures: « La prière qui réforme les pécheurs et guérit les malades est une foi absolue dans le fait que tout est possible à Dieu, une compréhension spirituelle de Dieu, un amour détaché de soi-même.
Je désire exprimer ma reconnaissance au sujet de la Science Chrétienne et de ce qu'elle a fait pour moi au cours des dix-huit dernières années. J'entrai dans la Science à dix-sept ans, après un entretien avec une dame qui avait été guérie d'une fracture de la hanche sans avoir recours à la médecine.