Témoignages
Le livre de texte Scientiste Chrétien, Science et Santé, contient ces paroles de Mrs. Eddy (p.
Mon cœur déborde de gratitude envers Mrs. Eddy, qui donna au genre humain la Science Chrétienne.
Voyant que j'avais besoin de guérison, une chère amie me parla de la Science Chrétienne, mais je ne l'acceptai pas tout de suite. Je venais de subir une grave opération et pensais que si je pouvais me rétablir je retrouverais la joie, le bonheur, et que l'harmonie reviendrait dans notre foyer.
Un témoignage paru en mars 1947 dans Le Héraut de la Science Chrétienne (édition allemande) m'a fait sentir qu'il fallait envoyer le mien. Je fus guéri moi aussi en étudiant la définition de « soleil » à la page 595 de Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy.
Profondément reconnaissant envers la Science Chrétienne d'une belle démonstration survenue il y a quelques années, je désire en donner le témoignage. A la suite d'une grippe, un ictère se déclara; le médecin appelé par mon entourage jugea la chose grave.
La seconde guérison que j'obtins en Science Chrétienne concernait ma vue; un oculiste réputé avait dit que je ne pourrais jamais me passer de lunettes et qu'avec le temps il me faudrait des verres toujours plus forts. La guérison fut instantanée; j'étais assis dans le bureau d'une praticienne lorsque soudain je m'aperçus que la tendance à critiquer mentalement autrui m'avait complètement quitté.
Au sujet de la Science Chrétienne, ma gratitude est profonde. Cette belle religion a changé toute ma vie, m'a rendue robuste, heureuse, intrépide, pleine d'espoir et m'a donné beaucoup de confiance.
Ce qui m'engage à écrire le témoignage suivant, c'est une sincère gratitude au sujet de la Science Chrétienne et de toutes les bénédictions que les miens et moi-même avons reçues en appliquant ce qu'elle enseigne. Comme je savais que Dieu est la seule source de la santé, je fus guérie d'une typhoïde en 1942; plus tard, un sérieux accès de malaria fut réduit à son néant primitif lorsque nous réalisâmes la présence éternelle de l'Amour divin.
Avec une sincère gratitude envers Dieu et envers la praticienne qui m'aida lors de mes premières guérisons par la Science Chrétienne, j'écris ce témoignage. Depuis cinq ans les médecins me traitaient; un docteur avait dit qu'une des valvules de mon cœur était usée et qu'il n'y avait plus de remède.
Récemment j'ai saisi pour la première fois la portée du récit que l'Évangile selon saint Luc nous donne au sujet des dix lépreux dont un seul revint sur ses pas pour rendre grâce. En 1924, je fus complètement guéri de maux d'yeux censément incurables; mais jusqu'à présent je n'avais pas fait connaître cette guérison par le canal de nos périodiques.