Témoignages
A tout disciple sincère, la Science Chrétienne apporte la compréhension spirituelle qui permet d'avoir une vie harmonieuse, une paix que le monde ne peut ni donner ni reprendre. Au cours des dix-sept dernières années, ces paroles du Psalmiste (Ps.
Lorsque je me tournai vers la Science Chrétienne, je n'y cherchais pas ma guérison quoique j'en eusse besoin; mais je lus Science et Santé par Mrs. Eddy pour aider quelqu'un qui m'était cher.
Depuis plus de trente ans la Science Chrétienne est mon aide, mon soutien dans tous les problèmes que présente l'existence mortelle. Quand j'entendis parler de cette Science, j'allais subir une opération qui d'après les médecins était une question de vie ou de mort.
Mon intérêt pour la Science Chrétienne date d'environ vingt-cinq ans, époque où j'entendis une conférence à ce sujet. Je n'étais pas en quête de guérison physique, mais je cherchais une religion raisonnable.
Bien que je ne sois pas venue à la Science Chrétienne pour un motif personnel quelconque, innombrables sont les bienfaits que j'en ai reçus, moralement, physiquement et de toutes les façons. Je voudrais aujourd'hui relater une démonstration qui engagera peut-être des personnes accablées à frapper à la bonne porte pour y recevoir une aide positive.
Voici plus de douze ans que j'appris à connaître la Science Chrétienne, mais ensuite je m'en laissai détourner; à cette époque en effet, comme dans la parabole de Jésus, la semence était tombée parmi les épines qui l'avaient étouffée. Mais trois ans plus tard, lorsque le mal semblait me poursuivre et que de grandes souffrances morales me plongeaient dans un sombre désespoir, j'eus à nouveau le désir de me tourner vers la Science Chrétienne et de l'étudier.
Si je voulais décrire le merveilleux changement qui s'est produit dans notre vie depuis l'époque où nous avons appris à connaître la Science Chrétienne voici plus de trente ans, l'espace réservé à un témoignage ne suffirait pas. Pleins de joie nous pouvons nous écrier avec l'apôtre (II Cor.
Il y a plusieurs années, dans un accident d'automobile ma voiture fut projetée contre un poteau soutenant les fils téléphoniques. Au moment du choc, je sentis clairement que Dieu est Tout.
Il y a trente-sept ans qu'un docteur nous parla de la Science Chrétienne. A cette époque je souffrais d'une mauvaise fièvre scarlatine dont trois médecins avaient dit que je ne me remettrais pas.
Dans le poème intitulé « Prière maternelle du soir, » par Mary Baker Eddy, nous trouvons ces lignes ( Poems , p. 4): « Douce présence, ô joie, ô force et paix, Vie souveraine à qui sont nos instants, Amour veillant au vol de l'oisillon, Dans son essor guide aussi mon enfant ! » Quelle glorieuse vérité, et que de fois, comme mère de famille, je me tourne avec gratitude vers elle pour trouver la paix! Voici longtemps qu'un certain été, mon mari, notre fils de sept ans et moi-même partîmes en bateau vers le sud pour passer la belle saison à pêcher au large de la Californie.