
Témoignages
Avant de venir à la Science Chrétienne j'étais membre d'une église orthodoxe, mais je désirais ardemment trouver une religion plus pratique. Par conséquent je ne fus pas surpris lorsqu'un Scientiste Chrétien m'invita à une réunion du mercredi soir et j'acceptai l'invitation.
En 1913 j'étais atteinte de la tuberculose. Les docteurs m'avaient donné encore une année à vivre.
Mon premier contact avec la Science Chrétienne date de l'époque où mon mari me présenta à une personne qui étudiait cette Science. Une année plus tard environ notre fils cadet tomba malade.
En 1928 je tombai malade. En plus je subissais de grosses pertes dans mes affaires et sur mes valeurs en bourse.
Souvent à nos réunions du mercredi soir j'ai exprimé ma gratitude pour la joie, l'inspiration, les guérisons reçues en lisant les témoignages dans nos périodiques, et comme le dit le Psalmiste (116:14): « Je m'acquitterai de mes vœux envers l'Éternel en présence de tout son peuple. » Je commençai à m'intéresser à la Science Chrétienne quand ma mère fut guérie de rhumatismes articulaires.
Ma femme et moi avons trouvé la Science Chrétienne après la première Guerre mondiale, et nous en commencèrent l'étude; bientôt j'eus l'occasion de voir, dans ma propre expérience, la vérité concernant la cause et l'effet. Depuis quelque temps je me sentais anxieux et craintif au sujet de mes affaires hérissées de difficultés, conséquence de la période d'inflation qui, dans notre pays, avait suivi la guerre.
« L'Amour divin a toujours répondu à tout besoin humain, et y répondra toujours, » déclare Mary Baker Eddy à la page 494 de Science et Santé avec la Clef des Écritures. Ce fait s'est prouvé dans ma carrière.
Pour exprimer ma gratitude je ne vois pas de meilleur moyen que celui-ci: reconnaître les nombreuses guérisons et bénédictions reçues depuis qu'en 1903 j'ai trouvé la Science Chrétienne. Quelquefois des praticiens m'aidèrent par leurs traitements.
Quand j'étais une petite fille j'aimais vraiment Dieu. Mais à l'âge de dix ans j'eus une grande déception; ma prière fervent pour guérir d'une condition physique obstinée et ennuyeuse ne fut pas exaucée.
Pendant la deuxième Guerre mondiale l'institution pour laquelle je travaillais manqua de main-d'œuvre. Voyant qu'il était difficile d'obtenir des hommes pour prendre soin des locaux et maintenir les normes élevées qui avaient toujours prévalu, je dis à l'administrateur que j'étais prête à laver les fenêtres.