
Témoignages
Le premier vers de l’hymne 278, dans l’Hymnaire de Christian Science, « Ton ciel, ton bien, pèlerin sur la terre, ils sont en toi », exprime une vérité que j’ai démontrée dans le cours de mon existence. J’avais été longtemps déçue dans ma recherche d’un foyer.
J’écris ce témoignage pour rendre humblement hommage à Christ Jésus, à la Science Chrétienne et à Mrs. Eddy, qui l’a découverte et fondée.
Il y a plus de deux ans, les docteurs me dirent qu’il n’y avait aucun remède capable de guérir un état de dépression mentale et de nervosité qui m’empêchait de dormir. Dans ma détresse et mon désespoir, j’allai à la salle de lecture de Première Église du Christ, Scientiste, Hong-Kong, espérant y trouver de l’aide.
La Science Chrétienne nous fut présentée la première fois, à mes parents et à moi-même, par un couple ami rencontré pendant les vacances. Je souffrais justement d’une attaque d’asthme, comme j’en avais fréquemment.
Un jour, alors que j’étais en cantonnement dans un pittoresque village du sud de l’Allemagne, j’escaladai le Kofel jusqu’à son sommet, le Kofel étant un pic de granit gris qui s’élève à quelque neuf cent cinquante mètres au-dessus de la vallée. Treize ans passèrent et, en mars 1960, je venais de sortir d’un hôpital militaire où j’avais été hospitalisé pour ce qui avait été diagnostiqué comme un infarctus du cœur.
C'est une joie de rendre témoignage à l'efficacité curative de la Science Chrétienne. Depuis que j'ai commencé l'étude de cette religion vraiment scientifique, en 1953, j'ai été guéri de maux de dents chroniques, de rhumes, de troubles de digestion, et d'une tendance à l'ambition effrénée, aux faux appétits et au désespoir mental.
Je sentis la présence invisible, mais calme et sereine du Christ dans l'amitié et au foyer d'un ami d'école. C'est chez lui que je vis pour la première fois un exemplaire de Science et Santé par Mrs.
La guérison que j'aimerais relater ici fut le résultat de ma première lecture du livre de texte, Science et Santé par Mrs. Eddy.
Très jeune, je fus inscrit à l'école du dimanche de la Science Chrétienne. Ce fut un privilège inestimable.
En 1925 ma sœur de Californie vint me voir, et lorsqu'elle s'aperçut dans quel état de désespoir je me trouvais, elle me parla de la Science Chrétienne. Elle avait déjà essayé de m'en parler dix ans auparavant, mais je n'avais pas écouté.