![The Herald of Christian Science](/extension/herald/design/herald/images/print-logo-fre-fr.png)
Témoignages
J'aimerais témoigner des bienfaits que j'ai reçus de la Science Chrétienne ainsi que de ma reconnaissance envers notre Leader, Mrs. Eddy, qui a donné cette Science au monde.
Je fus amenée à la Science Chrétienne à la suite de difficultés financières dans les affaires de mon père, susceptibles, nous le craignions, de le conduire au bord de la faillite. En moins de deux mois je prouvai que « tout est possible à Dieu » (Matth.
« Des profondeurs de l'abîme je t'invoque, ô Éternel ! » (Ps. 130:1).
J'ai entendu parler de la Science Chrétienne il y a bien des années, et plusieurs membres de ma famille ont eu dans l'intervalle des guérisons en mettant en pratique cette religion; mais quant à moi je n'étais pas prêt à le reconnaître ni à m'en soucier même. Je prenais beaucoup de plaisir à consommer des boissons alcooliques et à fumer.
Lorsque je trouvai la Science Chrétienne je traversais une période de profond désespoir car il y avait fort peu d'espoir que je mène jamais une vie normale. Jusque-là j'avais été affligée de semi-invalidité et même par moments j'étais entièrement infirme.
Dans les derniers mois de l'année 1931 je travaillais à Boston pour un entrepreneur sur le chantier où l'on construisait le nouvel édifice de la Société d'Édition de la Science Chrétienne. Mes fonctions m'amenaient à rencontrer chaque jour un Scientiste Chrétien fervent qui répondit avec une infinie patience à mes nombreuses questions touchant sa religion, dont jusque-là j'ignorais tout.
Mrs. Eddy écrit dans Science et Santé: « Demeurez ferme dans votre certitude du fait que l'Entendement divin gouverne, et que, dans la Science, l'homme reflète le gouvernement de Dieu.
Il y a très longtemps de cela, j'ai entendu discuter de la Science Chrétienne. Le thème proprement dit du débat était « Dieu ».
Quelques années après la dernière guerre, alors que la société était encore désorganisée, mon père, animé d'une grande charité chrétienne, recueillit sous le toit familial un homme qui, parce qu'il était paralysé des deux jambes, ne pouvait subvenir à ses besoins. Après un certain temps, ma mère, qui lui portait ses repas dans sa chambre, fut intriguée de voir toujours disposés sur son lit deux gros livres et un tout petit dont les pages semblaient être consultées à tour de rôle.
Je fus très troublée et même effrayée lorsqu'un médecin déclara que je ferais bien de me résigner, car la maladie de peau qui me couvrait le corps entier était incurable; avant de m'endormir ce soir-là, je priai pour que l'on découvre un remède, pensant à quelque médicament ou cure car je ne connaissais rien autre que la médecine. On m'avait dit que cette affection était due à une insuffisance des glandes sébacées.