
Témoignages
J'ai quatorze ans et je fréquente l'École du Dimanche de la Science Chrétienne depuis l'âge de deux ans. J'ai eu de nombreuses occasions d'utiliser la Science Chrétienne soit pour moi-même soit pour les membres de ma famille.
Je suis née à Londres et par la suite je travaillai dans un grand magasin à Oxford Circus. J'étais souvent souffrante et faible et lors d'une de mes fréquentes visites chez le médecin, il me dit que j'avais une maladie pulmonaire et que je deviendrais probablement tuberculeuse.
Affligé d'une maladie prétendue incurable, je fus guidé, en 1906, vers le sujet de la Science Chrétienne Christian Science: Prononcer 'kristienn 'saïennce.
Il y a quelques années, j'avais souvent des maux d'oreilles très douloureux. Parfois cela m'empêchait de dormir la nuit.
Mon premier témoignage publié a paru dans le Christian Science Sentinel du 1 er avril 1950. Les guérisons physiques qui y figuraient se sont avérées permanentes.
Un aimable voisin nous invita ma sœur et moi à l'accompagner aux services du dimanche matin d'une église de la Science Chrétienne. C'était notre première introduction à la Science Chrétienne.
Je me réveillai une nuit avec un si violent mal de gorge que je me rendis compte qu'il me fallait faire quelque chose immédiatement. J'avais réfléchi récemment sur les paroles bibliques « nous voyons au moyen d'un miroir, d'une manière obscure »; et quand j'avais lu certains passages de Miscellaneous Writings, dont l'auteur est Mrs.
Lorsque la Science Chrétienne me fut présentée, en 1947, je me trouvais dans de terribles difficultés physiques et mentales. J'étais constamment entre les mais des médecins qui faisaient tout ce qu'ils pouvaient pour améliorer ma santé, mais sans succès.
Je fis connaissance de la Science Chrétienne Christian Science: Prononcer ’kristienn ’saïennce. grâce à l'amabilité d'une voisine.
Il y a environ seize ans, j'étais en visite chez des amis qui me demandèrent de descendre dans leur jardin pour voir une fleur d'iris précoce. Ce jardin se trouvait à une dizaine de mètres au-dessous du niveau de la rue et on y parvenait par un étroit escalier extérieur.