Témoignages
Il y a plus de vingt ans, mon père fut frappé d'hémorragie cérébrale. Après un long séjour dans un hôpital, on lui conseilla à deux reprises de se faire opérer.
« Ta parole est une lampe à mes pieds, et une lumière sur mon sentier » (Ps. 119:105).
« Il envoya sa parole et les guérit, il les fit échapper de la fosse » (Ps. 107:20).
Au cours d'une conférence sur la Science Chrétienne, le fait que la Science Chrétienne est en accord avec la loi divine, m'apparut très clairement. A la suite de cette conférence, je fus guéri deux fois, et très rapidement, par cette nouvelle connaissance.
Deux semaines après être rentrée chez moi, après avoir eu la joie de suivre le cours d'instruction, ma famille et moi-même devions aller dans le Middle West pour aider mes parents à moissonner leur blé. Mais une lettre arriva nous disant de changer nos projets de vacances si nous le désirions, car mes parents étaient sûrs qu'il n'y aurait pas de moisson à faire.
J'ai donné un témoignage dans le Christian Science Sentinel du 14 décembre 1963, dans lequel j'ai raconté la guérison d'une broncho-pneumonie quasi fatale, survenue peu de temps après la seconde guerre mondiale. J'aimerais présenter cette fois la guérison d'une vue affaiblie.
Il y a un peu plus de cinq ans, mon mari perdit son emploi et cela me valut une suite de problèmes. La crainte et les soucis s'emparèrent de moi et comme résultat, je tombai gravement malade.
Alors que je traversais la rue un soir, je fus heurtée par une camionnette. De toute évidence, le conducteur ne se rendit pas compte de ce qui s'était passé et il ne s'arrêta pas.
Depuis plusieurs années déjà, la Science Chrétienne est pour moi une grande bénédiction. C'est en écoutant un programme de radio de Science Chrétienne que je m'y suis d'abord intéressée et je suis profondément reconnaissante à Dieu qui m'a conduite à cette vérité qui guérit.
Quelques mois avant la fin de la guerre 1914/1918, alors que je faisais partie de la fanfare militaire, je fus réformé, ayant été déclaré inapte à poursuivre mon service militaire. Je paraissais avoir toutes sortes de complications.