La barque était battue par les vagues. Ils craignaient de périr. Mais, à la voix du Maître, les flots s'apaisèrent et un grand calme s'établit.
Ce n'était pas la première fois que les disciples de Jésus virent le tumulte céder à l'harmonie.
Un jour, un homme violent qui souffrait d'une maladie mentale s'approcha d'eux. Il ne fut pas accueilli par la crainte ou le rejet, mais par la compréhension inébranlable de Jésus que personne ne peut être séparé de Dieu, de Son amour et de la paix qui en découle.
L'homme fut instantanément guéri. Son agressivité disparut et fut remplacée par la douceur, le respect et le désir d'aider son prochain.
A bien des niveaux, notre monde a besoin de ressentir cette paix divine qui élimine l'agressivité.
Au cours de nos journées, nous avons l'occasion de prendre conscience du fait que la violence en parole, en pensée ou en action doit nécessairement céder à la puissance de l'Amour divin.
Quel privilège de pouvoir, chacun à sa manière, aider ceux qui nous entourent à ressentir cette paix dont les fondations ne peuvent pas être ébranlées et qui remplace la violence par l'harmonie.
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