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Pour les jeunes

En apprendre davantage au sujet de la guérison

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de février 2019

Paru d'abord sur notre site le 4 décembre 2018.


Un jour, je suis rentrée de l’école avec mal à la tête et tous les symptômes d’un rhume. Mais je n’étais pas inquiète, car je suis élève à l’école du dimanche de la Science Chrétienne. Je savais que je pouvais prier et être ainsi guérie. J’ai connu de nombreuses autres guérisons. J’ai commencé à prier avec une idée venant de Science et Santé avec la Clef des Ecritures de Mary Baker Eddy : « Il n’y a pas de douleur dans la Vérité, et pas de vérité dans la douleur ; ... » (p. 113). Vérité est un autre nom pour Dieu, donc je savais que la douleur ne me venait pas de Dieu. Après avoir réfléchi à cette idée pendant un petit moment, je suis allée me coucher.

Lorsque je me suis réveillée, je ne me sentais toujours pas bien, alors j’ai appelé une praticienne de la Science Chrétienne et elle a accepté de prier pour moi. Nous avons parlé ensemble d’une autre idée de Mary Baker Eddy, cette fois tirée de ses Ecrits Divers 1883-1896, qui m’a aidée à de nombreuses reprises : « Si un rhume pouvait pénétrer dans le corps sans l’assentiment de l’entendement, la nature l'enlèverait aussi doucement, ou l’y laisserait d’une façon aussi inoffensive que lorsqu’elle fait disparaître la gelée de la terre ou qu’elle met de la glace dans la crème glacée à la satisfaction de tous. » (p. 240) Grâce à ce passage, j’ai compris que si je peux accepter le froid en ce qui concerne les crèmes glacées, je n’ai pas à accepter le fait de prendre froid en ce qui me concerne personnellement. J’ai trouvé de l’inspiration dans cette idée, et cette nuit-là j’ai dormi paisiblement.

Le matin suivant, je me sentais mieux mais le mal de tête semblait disparaître puis revenir. J’ai essayé de me préparer pour l’école, mais j’ai fini par rappeler la praticienne parce que je me sentais comme un pendule, oscillant entre malaise et santé. Cette fois-ci, elle m’a indiqué un passage de Science et Santé, qui affirme : « L’homme n’est jamais malade, car l’Entendement n’est pas malade et la matière ne peut l’être. Une fausse croyance est à la fois ce qui tente et ce qui est tenté, le péché et le pécheur, la maladie et sa cause. Il est bon d’être calme dans la maladie ; espérer vaut mieux encore ; mais le mieux de tout, c’est de comprendre que la maladie n’est pas réelle et que la Vérité peut en détruire la réalité apparente, car la compréhension de ce fait est le remède universel et parfait. » (p. 393-394) J’ai compris que je ne pouvais pas être tentée de croire qu’une maladie puisse disparaître, puis réapparaître, ou que la santé puisse jamais m’être enlevée. La santé vient de Dieu, par conséquent elle ne peut jamais se volatiliser. C’est une constante. Le jour suivant, j’étais complètement guérie.

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